top of page
Articles

Article 1

 

Etre accompagné pour réussir ?

Entre l’indépendance et l’absence de choix, entre l’impression d’être assisté et celle d’être soutenu, entre l’ignorance et la connaissance, nous cherchons les moyens de réussir nos vies.

Trois types de leviers sont actionnés par ceux qui réussissent :

  • la mise en Å“uvre de leur potentiel,

  • la sollicitation des experts pour augmenter ce potentiel,

  • la collaboration avec les partenaires impliqués dans leurs projets.

Pour actionner ces trois leviers, nous restons les acteurs principaux de notre réussite.

Dans cet article, je vous propose quelques questions, des pistes de réflexion et quelques propositions concernant la notion d’accompagnement, en intégrant l’idée de « s’accompagner soi-même Â».

 

Dans un premier temps, je vous propose de vous arrêter sur la liste des questions et de ressentir ce qu’elles évoquent pour vous avant de lire les éléments de réponse :

  • Peut-on réussir seul ?

  • Avons-nous toujours la vision claire de ce que nous voulons (devons !?) accomplir ?

  • Comment atteindre les buts que nous nous fixons en se donnant toutes les chances de réussir ?

  • Comment augmenter, optimiser, notre propre efficacité ?

  • Avons-nous toujours conscience de notre capacité à réussir ?

  • Avoir conscience de nos capacités implique-t-il de pouvoir les mettre en Å“uvre ?

  • Combien de temps perdu, combien d’énergie gaspillée, combien de projets bloqués, voire, d’objectifs non formulés du fait d’un manque de recul ou de sérénité ?

  • Etre accompagné ? Par qui ?

  • Peut-on (doit-on ?) apprendre à être un bon accompagnant pour soi pour gagner en autonomie ?

  • A quoi un accompagnant professionnel est-il formé pour exercer son métier ?

  • Comment sait-on que le processus d’accompagnement est efficace ?

  • Avons-nous forcément envie de réussir ?

Après ce temps de réflexion et de ressenti, je vous propose, question par question les éléments* de réponse suivants :

(*NDLA : à ce stade de ma propre progression, ces éléments m’apparaissent suffisamment pertinents pour vous en faire part ; avec l’espoir d’être encore longtemps capable de remettre en question mes avis et mes croyances, le cas échéant) 

 

 

01 Peut-on réussir seul ?

Un nouveau-né pousse son premier cri. Cet enfant qui vient de naître devra être protégé et entouré d’autres personnes expérimentées et bienveillantes qui l’aideront à se développer et à traverser les  expériences qui lui permettront de se réaliser.

Un alpinisme est debout, au sommet de la montagne qu’il vient de gravir. Ce solitaire, passionné par la montagne, a préparé dans les moindres détails son expédition. Cela a pris des mois durant lesquels il a pensé à tout, pour enfin se lancer, en toute autonomie, dans cette aventure en face à face avec lui-même.

A certains moments de nos vies, nous avons plus ou moins besoin d’être soutenu, aidé, voire, secouru. Sur le long terme, il s’agit d’acquérir l’autonomie qui nous permettra, le plus possible, de nous accompagner nous-mêmes dans notre réussite.

 
02 Avons-nous toujours la vision claire de ce que nous voulons (devons !?) accomplir ?

Beaucoup d’éléments différents nous conduisent à décider d’aller dans telle ou telle voie. Notre personnalité, notre culture, notre éducation, notre environnement, nos talents, nos expériences, sont autant de facteurs à partir desquels se forge et progresse, étape par étape, notre projet de vie.

Les situations que vivent certaines personnes donnent parfois l’impression que ce qu’elles décident de faire sont le résultat d’opportunités, voire, de réactions « en creux Â» par rapport à des sollicitations trop pressantes, ou considérées comme telles, de la part de leur environnement, leur éducation ou leur culture.

Sans se connaître vraiment, sans savoir réellement ce qui leur permettrait de se réaliser, ces personnes s’engagent dans un parcours de vie qu’elles n’ont pas  choisi « en pleine connaissance de cause Â».

Dans certains cas, la marge de choix peut ne pas être, ou sembler importante,  ni même réelle. Cela demande encore plus de chercher à savoir ce qui est important pour soi, afin de tenter de réaliser au mieux ce qu’on voudrait vivre, sous ces contraintes fortes, ou apparemment fortes.

Il est toujours préférable de se donner les moyens de décrire objectivement cette marge de choix, ces contraintes, afin de se créer le meilleur espace possible pour la réalisation de soi, en cohérence avec une gestion optimale de ces contraintes.

 
03 Comment atteindre les buts que nous nous fixons en se donnant toutes les chances de réussir ?

Selon le cas, selon notre degré d’autonomie pour franchir chaque étape, nous sollicitons nos proches, des experts, des formateurs, des associés, des investisseurs. Mais, avant tout, nous puisons dans notre propre potentiel.

Toute cette capacité, incluant nos talents, nos savoirs et nos savoir-faire, n’est  utilisable que si nous savons, nous voulons et nous pouvons la mettre en Å“uvre.

Nous ne pouvons nous passer de nous pour réussir ; alors cette personne que nous sommes doit être le plus efficace possible.

De plus, notre propre efficacité dans l’utilisation du potentiel dont nous disposons crée, chez ceux qui peuvent nous soutenir, la confiance et l’envie qui les incitent à nous aider.

Réussir reste une notion personnelle et c’est bien la compréhension de ce qu’est réussir pour nous qui nous permet d’orienter au mieux nos actions et d’obtenir la dynamique suffisante.

 
04 Comment augmenter, optimiser, notre propre efficacité ?

De nombreuses techniques sont proposées aujourd’hui pour « Ãªtre performant Â».

Ces techniques sont plus ou moins faciles à appliquer et à installer durablement. Tout comme ces nombreux régimes qui sont proposés à ceux qui veulent maigrir, les techniques qui sont proposées pour être « performant Â» apparaissent comme des solutions ponctuelles, ciblées sur un objectif particulier. Par exemple, bien des techniques et outils ont été développés pour apprendre à gérer son temps. Mais la notion de temps est très personnelle ; proposées parfois comme des recettes universelles, ces techniques et ces outils ne sont en fait vraiment efficaces que dans un cadre plus global et adapté à chacun. Dans ce cadre, on intègre la notion de priorité, mais aussi, la notion de plaisir, la notion d’effort, la notion d’adaptabilité, etc.

En fait, souvent, nous avons acquis les principales techniques, nous avons les principaux outils à notre disposition ; pourtant, nous les mettons en pratique difficilement ou de façon épisodique.

Alors, plutôt que de suivre le dernier « régime de la performance Â» à la mode, il faudrait plutôt acquérir la « diététique de ceux qui réussissent Â».

Intégrer durablement un véritable « savoir-réussir Â» est la solution.

 
05 Avons-nous toujours conscience de notre capacité à réussir ?
06 Avoir conscience de nos capacités implique-t-il de pouvoir les mettre en Å“uvre ?

Claude, psychologue clinicien, travaille dans le domaine des risques psychosociaux. Il se demande s’il doit ou non aménager, voire, interrompre momentanément son activité pour obtenir un doctorat dans cette spécialité. Il a l’intuition que son expérience professionnelle est suffisante pour être reconnue auprès des entreprises clients mais il a toujours privilégié l’obtention des diplômes et autres certifications d’état et il ne peut prendre la décision de renoncer à ce doctorat. Il en parle à Chantal qu’il apprécie pour sa capacité d’écoute « neutre et amicale». Avec Chantal, il discute longuement du « pour et du contre Â» de ce doctorat. Aucunement spécialisée dans le domaine, cette amie n’est là que pour lui permettre d’approfondir chaque élément de la réflexion et son rôle de candide lui permet d’écouter, de poser toutes les questions pour comprendre, comme si, elle-même, voulait acquérir les éléments lui permettant de faire le bon choix. Rapidement, Claude, en répondant aux questions de Chantal,  voit clairement, objectivement, les raisons de ne pas faire ce doctorat ; il ne lui faut que quelques jours d’échange avec Chantal pour prendre cette décision. Cela faisait près d’un an qu’il hésitait.

Chantal, intervenant comme la « petite voix Â» de Claude, lui a permis de prendre le recul nécessaire et d’approfondir suffisamment tous les éléments de choix nécessaires à la prise de décision. Le questionnement neutre et amical de Chantal a agi comme un miroir grossissant validant sa propre « réflexion Â».

 
07 Combien de temps perdu, combien d’énergie gaspillée, combien de projets bloqués, voire,
d’objectifs non formulés du fait d’un manque de recul ou de sérénité ?

Ne pas savoir s’accompagner ni trouver quelqu’un pour le faire, c’est, sans doute d’abord prendre le risque de se tromper de chemin ou, comme dans la clairière de Descartes, prendre le risque de n’en prendre aucun et rester au cœur d’une forêt de points d’interrogation.

 

08 Etre accompagner ? Par qui ?

Les proches peuvent être des accompagnants efficaces, bien que, souvent, trop impliqués émotionnellement.

La qualité première étant la capacité « d’écoute neutre et bienveillante Â», il est préférable de choisir un proche qui ne se précipitera pas dans le rôle de « conseilleur expert Â» ou qui risquera d’être déstabilisé du fait de l’importance du rôle que vous lui demandez de prendre.

Un bon accompagnant doit d’abord vous permettre de vous révéler à vous même dans le cadre de l’objectif que vous vous êtes fixé.

L’accompagnant professionnel est, d’abord, expert en écoute neutre et bienveillante, avec un niveau élevé d’attention.

Un accompagnant peut être aussi « spécialiste Â» concernant un aspect de votre projet et, ainsi, être là pour vous aider pour certains aspects techniques. Les conseillers, consultants, formateurs et autres entraineurs ne sont pas forcément spécialisés dans l’écoute mais sont suffisamment attentifs et souples pour adapter la transmission de leur expertise à votre besoin ; cette posture d’écoute de l’expert lui permet aussi de diminuer le risque de prendre ce besoin à son compte et de « le traiter à sa manière Â».

Il est essentiel de distinguer la relation d’accompagnement de la relation d’expertise.

 
09 Peut-on (doit-on ?) apprendre à être un bon accompagnant pour soi pour gagner en autonomie ?

Nous sommes souvent des accompagnants plutôt « mal placés Â» pour nous aider nous-mêmes, surtout dans les phases critiques. Nous sommes, de fait, trop impliqués émotionnellement, trop enclins à nous conseiller de façon subjective à partir de nos propres croyances, voire, nos propres peurs. Trop concentrés sur nos buts, nous sommes aussi les moins aptes pour, sereinement, explorer toutes les solutions ; confondant rapidité et précipitation, nous n’allons pas toujours au bout de nos réflexions, ce qui appauvrit nos chances de trouver les bonnes solutions et de prendre les bonnes décisions.

Quelquefois, au contraire, nous tournons en rond, prisonniers de pensées contradictoires,  incapables d’avancer ni, donc, de « tenter l’expérience Â» qui nous permettra de valider nos hypothèses.

Mais un travail personnel peut augmenter considérablement cette capacité à nous accompagner. Nous devenons alors, même en pleine action, l’observateur neutre et amical de notre propre histoire. Apprendre à « descendre de son vélo pour se regarder pédaler Â» nous permet de voir que la pente est moins raide ou plus raide qu’on le croit, que nos freins bloquent la roue ou que, au contraire, ils sont inefficaces, que nos pneus sont dégonflés ou trop gonflés, que notre lumière n’éclaire que le devant de la route ou, trop loin…

Ce travail personnel nous permet aussi de savoir s’entourer de ceux qui pourront nous aider ou s’associer à nos projets.

Bien se connaître est d’autant plus essentiel si notre projet doit être mené en équipe. De plus, cette plus grande capacité à nous accompagner nous-mêmes nous permet de devenir un meilleur accompagnant pour les autres.

Tout le travail que vous faites pour devenir un bon accompagnant pour vous-même facilite aussi énormément la collaboration avec tout accompagnant externe que vous sollicitez. Cet accompagnant professionnel qui vous aide à trouver vos propres solutions rencontre alors en vous un allié précieux.

Tout va alors encore plus vite, que ce soit dans la phase de clarification de l’objectif ou dans la phase de progression vers l’objectif.

Nb : Le rôle de l’accompagnant professionnel est aussi, intrinsèquement, de développer votre autonomie à long terme, donc, d’augmenter votre capacité à vous accompagner vous-même. Cela fait partie de la déontologie de sa profession. 

Un accompagnant professionnel a donc toujours, contractuellement, deux missions : celle de faciliter la réussite du projet pour lequel vous le sollicitez et celle, plus globale, d’augmenter durablement votre autonomie.

 
10 A quoi un accompagnant professionnel est-il formé pour exercer son métier ?

Au delà des techniques et autres expertises complémentaires qu’un accompagnant peut acquérir pour, éventuellement, se positionner en tant que consultant - en phase avec, notamment, le métier du client -, un accompagnant apprend essentiellement les techniques suivantes :

 

  • Il a effectué et effectue en continu un travail en développement personnel qui lui permet d’éviter de ‘polluer’ le processus d’accompagnement avec ses propres préoccupations et autres ressentis ; l’accompagnant est totalement centré sur la problématique de son client.

  • Il maîtrise l’Ecoute Active ; cette pratique, essentiellement basée sur le questionnement, est indispensable pour permettre à la personne accompagnée de réaliser tout son potentiel dans le cadre de son objectif.

  • Il a une connaissance approfondie des facteurs cognitifs (pensées) et/ou émotionnels qui agissent comme des moteurs ou, au contraire, comme des freins. L’écoute active permet aussi à la personne accompagnée de les mettre en lumière.

  • Il a acquis et pratique les postures de vie qui permettent de gagner en dynamisme ; permettre à la personne accompagnée d’avoir une bonne énergie est déterminant en toutes circonstances. La dynamique produite lors du processus d’accompagnement décuple la puissance physique et psychologique du client.

  • Il a acquis et pratique des techniques de détente, de « lâcher prise Â» ; l’esprit et le corps doivent être, à la fois, toniques et relâchés. Cette disposition corps-esprit permet une concentration soutenue et aisée dans les phases de réflexion et d’action.

  • Il sait communiquer, notamment, via une approche de type CNV (Communication Non Violente) ; la compréhension mutuelle permet de progresser rapidement et dans un nécessaire climat de confiance.

  • Il sait mettre en place un processus d’accompagnement rigoureux et contrôlable, à la fois, par la personne accompagnée et tout superviseur qu’elle désirerait solliciter ; le processus d’accompagnement est à la fois transparent et confidentiel, codifié au travers d’un contrat dont les clauses sont proposées par les fédérations de coaching professionnelles.

  • Il pratique, idéalement, des techniques complémentaires (Qi Gong, massages, Shiatsu, thérapies mémoire cellulaire, MBSR…) qui lui permettent de proposer des outils pour accroitre plus rapidement les capacités de la personne accompagnée ou pour débloquer progressivement certains freins plus fortement installés.

  • Son expérience de l’accompagnement lui permet de parfaire quotidiennement l’efficacité de sa pratique.

  • Il a, à priori, une posture naturelle d’accompagnant ; il fait preuve d’empathie, de congruence et de compassion ; il est naturellement un « Ã©coutant Â» qui éprouve de la satisfaction à soutenir et voir réussir les autres.

 

11 Comment sait-on que le processus d’accompagnement est efficace ?

Qu’on augmente sa capacité à s’auto-accompagner ou qu’on se fasse accompagner, par un proche ou un professionnel, on doit percevoir, notamment, les améliorations suivantes :

 

  • l’objectif à atteindre est plus clair et sa place dans votre projet de vie est mieux déterminée,

  • les étapes sont exprimées objectivement et précisément,

  • les premières actions sont décidées sans hésitation,

  • vous éprouvez plus de confiance dans vos chances de réussite,

  • vous ressentez une dynamique plus grande et plus constante,

  • vous gagnez en autonomie tout au long du processus,

  • vous faîtes équipe avec votre accompagnant tout en restant en maîtrise dans la relation,

  • vous communiquez de façon plus sereine et plus précise avec les personnes impliquées,

  • vous vous projetez de plus en plus dans la réussite,

  • votre projet s’harmonise avec les autres aspects de votre vie.

 

 

12 Avons-nous forcément envie de réussir ?

Certaines théories utilisées dans le cadre du développement personnel émettent l’hypothèse que nos intentions, nos actes, ont toujours pour origine une « intention positive Â».

Mais, parfois, la perspective du but à atteindre semble trop difficile, ou contradictoire par rapport à d’autres objectifs, et nous mettons en place, plus ou moins consciemment, des stratégies dites « d’auto-sabotage Â» contraires à nos intérêts. 

Ces stratégies, lorsqu’elles ne sont pas d’ordre pathologique, peuvent être déjouées par une simple mise en lumière de leurs causes et de leurs effets et un travail adapté dans le cadre du processus d’accompagnement et/ou « d’auto-accompagnement Â».

Si l’accompagnant constate que le processus d’accompagnement est trop perturbé par des blocages psychologiques, son éthique implique d’en faire prendre conscience à son client afin que celui-ci puisse réfléchir à l’opportunité d’un travail spécifique sur ces aspects. Le processus d’accompagnement de type coaching ne doit pas être poursuivi si de tels blocages le rendent inefficace.

Article 2

 

Métiers de l'accompagnement

Les métiers de l’accompagnement se sont développés avec l’accélération considérable du rythme de vie. Il faut de plus en plus rapidement prendre la bonne décision et la transformer en action quasi immédiate, ce, dans tous les domaines de vie.

 

Notre mobilité accrue et l'éloignement créé par les nouvelles technologies génèrent de nouveaux modes de relations avec un plus grand risque d'isolement.

 

Les pratiques d’accompagnement ne sont plus aujourd’hui réservées aux seuls processus  thérapeutiques car, chacun, dans son quotidien, peut être amené à demander du soutien pour gérer une période critique de sa vie.

L’accompagnement est souvent mis en place face à une demande spécifique et il existe, de fait, un panel de pratiques

qui permet un soutien ciblé en fonction de l’objectif à atteindre.    

L’accompagnement peut être mis en place pour une personne, mais aussi, pour un groupe de personnes dans le cadre

d’un projet commun.

 

A noter :

Chacun peut développer, à des fins privées ou professionnelles, la posture et les techniques de l’accompagnant, pour lui-même ou le soutien de son entourage. Cette posture évite, notamment, de se positionner en tant que « conseilleur Â» dans des situations qui demandent surtout une bonne capacité d’écoute neutre et bienveillante.

 

Pour l’essentiel de son apport, l’accompagnement permet aux personnes accompagnées de mettre en œuvre le potentiel qu'elles détiennent déjà pour l’aboutissement de l’objectif qu’elles se fixent.

Certaines formes d’accompagnement ajoutent du « savoir Â» et du « savoir-faire Â» par rapport à ce qui doit être réalisé,

Les métiers de l’accompagnement sont à distinguer des métiers de conseil.

L’accompagnement inclut surtout une posture d’écoute et des techniques qui valorisent et dynamisent la personne accompagnée. Face à l’objet de la demande, l’accompagnement vise surtout à :

  • Décrire clairement un objectif optimal,

  • Inscrire l’objectif dans le champ global des domaines de vie,

  • Augmenter les chances de réussite,

  • Diminuer le temps d’atteinte de l’objectif,

  • Minimiser la dépense en énergie,

  • Augmenter la sérénité et la satisfaction tout au long du processus,

  • Développer durablement l’autonomie et la capacité de faire.

bottom of page